Un Arrêt Synonyme D’Amour

Il était 18h, un samedi soir.
Ma femme et moi avions rendez-vous chez un ami pour fêter son anniversaire.
Ces derniers temps, les moments où nous pouvions être ensemble, uniquement tous les deux, se faisaient rares, alors nous avions décidé de marquer le coup, et pour cela, de nous habiller plus chic qu’à l’accoutumée. C’est donc ravi d’avoir enfin l’occasion de nous retrouver que nous avions orientés le choix de nos vêtements, et clairement, nous voulions tous deux plaire à l’autre. Je me retrouvais donc affublé de mes chaussures de ville brune, d’un pantalon classique beige surmontée d’une chemise bleu ciel, cachée par un veston de costume gris. Ma cravate anthracite était légèrement inconfortable, mais je savais qu’elle produisait toujours son petit effet.
En voyant ma femme descendre les marches de l’escalier, je m’extasiais à nouveau devant sa beauté. Elle portait une robe kaki ample, lui arrivant légèrement au-dessus des genoux et soulignant, sans forcer le trait, ses formes rondes et hautement désirables.
Rien n’était montré, mais tout était suggéré. Elle le savait, et allait en jouer toute la soirée avec moi, mais je n’étais bien évidement pas contre…
A ses pieds, une paire de sandales bariolées à semelles compensées qui lui allaient à ravir.
Je me doutais que sous cette apparente simplicité devait se cacher des sous-vêtements tout aussi classes et sexy.
J’en avais déjà un aperçu avec la dentelle noire de son soutient gorge que je pouvais entrevoir par moment, soutenant son 105E bien galbé.
Même si son physique me rendait fou à chaque instant, je ne pouvais m’empêcher d’éprouver une grande fierté en la voyant marcher à mes côtés, ses yeux noisette, joueurs et remplis d’intelligence, ce visage fin, ses lèvres pulpeuses et son air presque arrogant lui conférant une aura distinguée. J’en étais amoureux, fou même, et cela pour toujours.
Nous étions donc dans le hall d’immeuble de notre ami, attendant qu’il nous réponde afin de pouvoir entrer.

Pendant ce temps je la complimentais sur sa beauté et sur le fait que sa tenue lui allait à ravir. Elle me rendit le compliment, en me disant que je n’étais pas trop mal non plus, avant de me sourire en pinçant les lèvres.
L’interphone mis fin à notre discussion, et quelques secondes plus tard la porte émit un son strident, signe qu’elle était déverrouillée. Je lui ouvris la porte et la laissa passer devant tout en m’assurant que ma main effleure ses fesses le temps de son mouvement.
Elle appuya sur le bouton d’appel de l’ascenseur.
— Je pense que je vais te plaquer. Lui dis-je en sachant qu’elle comprendrait facilement cette blague que nous avions depuis quelques années maintenant, à chaque fois que nous montions dans un ascenseur.
Elle rigola de bon cœur et l’engin de levage s’arrêta. Les portes s’ouvrirent, et le temps que je rentre, elle me rattrapa pour passer sa langue chaude et douce dans mon cou.
Je pressais le bouton indiquant un gros chiffre quatre de couleur orange, et les portes se fermèrent pour nous faire monter.
— Ce serait con de rester coincer et de devoir passer la soirée ici hein ? Me lança-t-elle avec un regard malicieux.

1er étage

— Ouaip surtout qu’on ne serait que tous les deux, dans cet ascenseur si étroit…

2ème étage

— Arrête tu vas nous porter la poisse !
Je savais qu’elle n’était pas à l’aise dans ce milieu, mais c’est bien elle qui avait commencée.

3ème étage

Les lumières clignotèrent et la cabine cahota, pour finalement s’arrêter.
— Merde c’est quoi ça ?
Elle se tourna vers moi, certainement persuadée que j’avais actionné le bouton d’arrêt d’urgence pour lui faire une blague, mais non, même pas.
— Je sais pas bé, en tout cas je n’ai rien fait.
Elle était paniquée alors que cela ne faisait que quelques secondes que tout était à l’arrêt. Je devais continuer de maintenir son attention sur autre chose si je ne voulais pas avoir une crise à gérer sur les bras.

Je passai mon bras droit autour de ses hanches et lui fit un bisou sur la joue.
— Ecoute on ne risque pas de tomber ou d’exploser, dans le pire des cas l’ascenseur est arrêté, on va appeler l’ascensoriste pour qu’il vienne nous aider et on sera dehors en un rien de temps !
Je sentais qu’elle n’était pas à l’aise même si cela semblait l’avoir rassurée un peu.
Après plusieurs minutes d’inactivité, je compris que le problème n’allait pas se solutionner tout seul.
— Regarde, on a le numéro de la centrale juste ici !
Je tombai sur une standardiste qui se montra très compréhensive, mais qui s’excusa bien vite de ne pas pouvoir nous affecter un technicien avant un délai d’une heure.
Ma femme était loin d’être ravie, mais de toute façon nous n’avions pas vraiment le choix.
Après avoir averti notre ami, nous nous retrouvions seul.
Je sentais que son niveau de stress augmentait, alors je tentai de désamorcer le tout avec un peu d’humeur.
— Ecoute on pourrait entamer cette bouteille, quitte à faire la fête autant prendre un peu d’avance !
— Pourquoi pas…
Pas vraiment convaincue…
Je l’attrapai par la taille et la regarda en souriant.
— Tout va bien se passer, je suis là.
Je l’embrassai sur le front en y mettant tout mon amour et en la serrant fort contre moi.
Elle se décrispa un peu et lorsque mon regard croisa à nouveau le sien, je lui lançai à nouveau une petite remarque.
— On pourrait profiter de ce petit créneau pour…
Je n’eus pas le temps de finir ma phrase qu’elle m’avait poussée contre la paroi de la cabine.
Je sentais son corps se pressé contre moi, sa poitrine opulente sortant de son décolleté sous l’effet de ce rapprochement.
Elle m’embrassa à pleine bouche, sa langue cherchant la mienne pour entamer une danse exquise. Je ne résistai pas bien entendu, et cette légère tension sexuelle que nous avions instaurée depuis notre départ de la maison venait littéralement d’exploser.
Nos salives se mélangeaient et le désir ne faisait que croitre. Nos lèvres ne se séparèrent pas jusqu’à ce qu’elle décide de se reculer pour attr ma langue avec ses dents. Aussitôt je gémis de douleur et de plaisir simultanément. Elle caressa mon buste et mon visage à tour de rôle, exerçant une force que je ne lui connaissais que lorsqu’elle avait particulièrement envie de moi.
Mes mains passèrent sur ses cuisses et remontèrent sur ses fesses en soulevant sa robe, je les massais vigoureusement, tout en sachant pertinemment que cela l’excitait énormément. Je remontai sur ses hanches, sa poitrine devenue bien dure, et finalement son visage. Je le pris entre mes mains, et lui embrassa à nouveau le front doucement et précautionneusement.
— Je t’aime mon cœur.
— Moi aussi ! Plus que tout !
A peine eut elle finit de parler que je sentis ses lèvres se poser dans mon cou. Je savais qu’elle projetait de me laisser « sa » marque en me faisant un suçon. Elle raffermit sa prise sur mes épaules et s’appliqua consciencieusement à me r le plus longtemps et le plus douloureusement possible. Mon sexe devenait à présent bien à l’étroit dans mon boxer. Elle se retira enfin et je me surpris à devoir reprendre ma respiration, tellement j’étais concentrée sur ce qu’elle me faisait.
— Je t’aime.
Elle contemplait son œuvre d’un air satisfait, et je compris que cela ne devait pas être très beau à voir.
Après l’avoir embrassée, elle s’accroupi immédiatement, et je ne pus m’empêcher d’afficher un sourire en coin alors que je savais ce qu’elle projetait de faire.
Elle défit ma ceinture et abaissa mon pantalon et mon boxer d’un seul et même geste. Elle attrapa mon pénis, maintenant au meilleur de sa forme, et exécuta quelques mouvements de va et vient tandis qu’elle embrassa mon bas ventre plusieurs fois avant d’y frotter son visage durant quelques secondes.

Le calme avant la tempête.
Je savais que désormais rien ne pourrait l’arrêter.


Sans un seul mot elle engloutit complétement mon sexe, le faisant disparaitre entièrement. Je fermai les yeux, bien décidé à me concentrer sur le plaisir intense qu’elle me provoquait avec sa bouche. Sa main droite tenait fermement mes parties, les malaxant avec vigueur par moment, tandis que je sentais mon pénis bien au fond de sa gorge, sa langue effectuant des allers retours réguliers tout autour de mon gland. J’étais certain d’un chose : elle maitrisait cet art à la perfection.
Pendant une minute ou deux minutes elle s’attela à sa tâche avec beaucoup de ferveur, me faisant frissonner de plaisir par ses coups de langues et ses bruits presque exagérés de succion.
Je pouvais sentir le sang parcourir par vague mon membre turgescent, provoquant à chaque afflux un petit bond qui faisait taper mon gland sur son palais.
— Ça te plait ?
Me dit-elle, essoufflée de désir, en me fixant du regard tout en gardant une bonne moitié à l’intérieur de sa bouche.
— Oui, continue, ne t’arrête pas s’il te plait.
Elle sortit ma verge dans sa quasi-totalité tout en continuant d’en sucer l’extrémité, et me masturba rapidement. Ses joues creusées à l’extrême pour l’enserrer le plus fortement possible. Son regard plongé dans le mien, je pouvais sentir sa salive chaude et la voir se répandre tout autour de la commissure de ses lèvres, faisant baigner mon pénis dans un magma de plaisir.
— Relève toi ma belle, je vais prendre soin de toi maintenant.
Alors qu’elle se relevait, elle se ravisa soudain pour retourner dans sa position initiale.
— Attends, une dernière chose !
A voir la façon dont elle pinçait sa lèvre inférieure, je compris qu’un sourire béat devait s’afficher sur mon visage.
A l’aide de ses deux mains, elle fit sortir ses superbes globes de chair et me plaça au centre. Elle reprit sa fellation de plus belle, ma verge coincée fermement entre ses énormes seins ardents aux tétons bien durs. Elle accéléra fortement la cadence, et en l’entendant gémir de plus belle, je su que je n’allais pas tenir très longtemps. Alors que j’essayais de me dégager elle me retint, m’empêchant de me retirer.
— Jouis, tu me feras l’amour après.
Sur ces mots prononcés avec fermeté, je m’abandonnai complètement à ses faveurs.
Elle effectua de grands mouvements de tête pour pouvoir prendre mon membre pleinement dans sa bouche. La friction de ses lèvres et de sa langue sur toute sa longueur me donnait des frissons, je sentais mon échine se crisper. Mon pénis se gorgeait de plus en plus du plaisir qu’elle me procurait, et au bout de quelques minutes de travail ce qu’elle désirait par-dessus tout arriva.
— Ca y est mon cœur, ne t’arrête pas. Lui demandais-je en prenant appui sur sa tête. Elle me laissa m’échapper pour mieux me masturber avec agilité de sa main gauche, pendant que son bras droit soutenait sa voluptueuse poitrine. Elle me sourit et sorti sa langue dans le seul but de m’exciter encore plus.
Et cela eu un effet immédiat.
Je poussai un cri étouffé, crispant la mâchoire pour qu’il ne s’entende pas trop fort.
— Voiiiilàà mon cœur ! Ça te plait hein ?
De longs jets épais et blancs ne tardèrent pas à maculer ses sphères laiteuses et son cou. Son petit rictus s’agrandissant à chaque nouvelle projection de sperme. Quelques secondes plus tard, elle me relâcha enfin.
Après avoir pris une serviette dans son sac à main pour s’essuyer, elle se releva et déposa un léger baiser sur mes lèvres en signe d’amour, doux et tendre à la fois.
Elle resta contre moi un instant, me laissant profiter de mon moment de jouissance.
Mais très vite j’eu envie d’elle à nouveau, et cette fois c’était à moi de lui faire du bien.
Je la pris par la taille et la mit face à la cloison. D’un geste sec je lui écartai les jambes, et la vue qui s’offrait à moi me fit bander aussi dur que lorsque nous avions commencé cette séance.
Ses jambes galbées s’ouvraient sur des lèvres relativement épaisses et avenantes. J’y plongeait mon visage sans plus de cérémonie. Sa réaction ne se fit pas attendre, et j’entendis au-delà de ses petits cris, ses doigts s’ouvrir et se fermer frénétiquement contre le métal de la cabine. Alors qu’elle se tenait debout, je passais mes mains sur ses mollets, et entrepris de remonter de plus en plus haut tout en conservant cette manière de l’effleurer à la fois subtile et excitante. La pointe de ma langue se positionna sur l’extrémité inférieure de sa vulve et la parcourra sur toute sa longueur. Je ne voulais pas encore la pénétrer, je voulais la faire languir encore un peu. Sous l’effet de mes caresses et de mes coups de langues elle se contorsionna, indiquant qu’elle ne pourrait plus endurer cela encore très longtemps.
Dans peu de temps, elle allait me demander de lui faire l’amour. Je passai donc à la vitesse supérieure, pour qu’elle puisse profiter de l’entrée dans son entièreté, avant que le plat de résistance n’arrive.
Ma paume droite se positionna sur le bas de sa croupe, lui indiquant qu’elle devait se cambre un peu plus pour s’offrir à moi.
— Tu es prête ?
Elle me répondit par l’affirmative, et j’entendis au son de sa voix qu’elle attendait cela avec impatience.
Son sexe s’ouvrit complètement à moi, débordant de sa mouille sirupeuse. J’attrapais ses seins à pleines mains, et entreprit de pincer ses tétons, sans oublier d’en titiller la pointe nerveuse. Sa réaction fut immédiate, je n’eus même pas à bouger la tête pour ajouter encore un peu de piment, que son arrière-train se balança de droite à gauche. Je pris une profonde inspiration et commença à introduire ma langue dans cette caverne dont je me délectais à présent des moindres saveurs. Ma langue fouillait son vagin, parcourant chaque centimètre carré de ses replis qui m’étaient accessibles.
Elle se contrôlait à présent difficilement, ce qui signifiait que le temps qui m’était imparti était quasiment écoulé. J’attaquais à présent son petit clitoris, devenu bien tendu sous l’effet du désir. Jouant tout d’abord avec, je le coinçai entre mes lèvres et tira légèrement dessus.
Elle céda, et j’eu droit à un jet de cyprine au gout sucré dans la bouche. Elle se redressa, n’en pouvant plus de ce traitement. Elle posa une dernière fois ses douces lèvres sur ma joue, ne supportant pas le gout de son propre fluide, et m’ordonna de la prendre.
Elle voulait jouir, et j’allais lui donner son orgasme. Je savais que nous allions terminer cette séance en venant tous les deux en même temps, comme nous en avions l’habitude.
Je reculai légèrement, pour observer une dernière fois son beau sexe luisant, et entra doucement en elle, mes mains sur ses belles hanches enrobées. Je senti qu’elle contractait les parois de son vagin, ce qui fit encore monter le désir d’un cran chez nous. Elle gesticulait pour que la pénétration se fasse plus vite, impatiente qu’elle était d’obtenir sa dose de plaisir brut.
Elle était à bout, et les dix premiers centimètres que j’avais pris le temps d’introduire délicatement en elle ne lui suffisait pas. D’un geste sec j’enfonçais les dix derniers restant, qu’elle avala presque sans broncher, seul un grognement rauque me parvint, me faisant comprendre que j’étais sur la bonne voie. De la mouille déborda de son entrejambe écarté au maximum, maculant le sol. Un bruit humide et galvanisant se faisait entendre à chaque fois qu’elle accusait un de mes coups de butoir.
Voir la vingtaine de centimètre apparaitre et disparaitre dans sa cavité rugueuse me rendait ivre de désir pour cette femme que j’adorais posséder. Mes coups se faisaient de plus en plus brutaux, secs et durs, mais à nouveau elle en voulait plus, et elle se mit à accompagner mes mouvements avec son bassin. Le clapotis accompagnant nos entrechoquements se faisaient de plus en plus forts, et nous étions littéralement trempé de ce liquide vaginal qui s’échappait dorénavant en grande quantité.
Elle ne retenait plus ses gémissements, nous étions proche de la fin. Mon sexe était gonflé à bloc, et ni elle ni moi ne pouvions, et ne voulions plus nous retenir.
— Continue, surtout ne change rien ! Baise-moi encore, ne t’arrête pas !
Je m’exécutais comme un bon petit soldat, la perforant de plus en plus vite. Je pris ses mains dans les miennes et me servit de cette position comme contrepoids pour mettre encore plus de force dans mes incursions. Ses jambes tremblaient, et ses cris étaient de plus en plus rapprochés. Un dernier râle, et je sentis ses muscles se tendre, ses doigts se crisper, tordant les miens involontairement, tandis que je continuais de lui faire l’amour en ralentissant la cadence. Il était temps pour moi aussi de me libérer.
— Retire toi mon cœur.
— Viens en moi mon amour…
Elle relâcha mes mains et pris appui sur la rampe pour tenter de conserver son équilibre le temps que je me finisse.
Je n’allais pas me faire prier !
Je repartis de plus belle, et cette sensation de bienêtre, typique d’un orgasme, me foudroya. Je ne fis quasi plus aucun mouvement, prenant plaisir à me déverser en elle, mon sexe agité de soubresauts saccadés et son vagin m’encerclant convulsivement. Incapable de tenir plus longtemps debout, nous nous effondrèrent à genoux, enlacés dans les bras l’un de l’autre. Mots doux, caresses et bisous nous permirent d’être apaisés et relaxés après un moment aussi intense.
Un rapide coup d’œil à ma montre m’indiquait que quarante-cinq minutes s’étaient déjà écoulées, par conséquent le réparateur n’allait certainement plus tarder.
— Tu es vraiment belle tu sais, je t’aime.
— Je sais -me dit-elle en affichant un air ingénue- et si tu es sage la soirée pourrait encore être bien sympa !
Alors que j’allais répondre, l’ascensoriste me coupa, m’indiquant qu’il allait ouvrir les portes manuellement.
Une dizaine de minutes plus tard nous pouvions sortir et rejoindre nos amis.
Bien entendu, nous étions contraints de monter en prenant l’escalier de secours.
Arrivé au dernier palier, elle se retourna vers moi.
— Un avant-gout !
Elle me fit un clin d’œil et souleva sa robe, me dévoilant son fessier nu. Aucune trace de culotte.
La soirée promettait en effet d’être inoubliable…

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